Stupiiid Girl ll Libre ll

« Help, I need somebody, Help… »
Chaque matin, Jane devait être reconnaissante aux « Beatles » puisque c’était eux son réveil. Une de leurs chansons dès le réveil, rien de mieux pour commencer une journée. Depuis qu’elle avait entendu une de leurs chansons, elle ne les avait plus jamais quittés. C’était son groupe et attention à quiquonque osait la défier en prétendant qu’elle n’était pas leur fan numéro un.
Comme chaque matin, à son réveil par une chanson des Beatles, Jane se dirigeait vers la salle de bain où elle fesait couler un bon bain chaud et après s’être lavée, habillée et pouponnée comme il le devait, elle filait remplier son estomac qui criait famine. Tout en dégustant son chocolat chaud, elle se demandait bien ce qu’elle pourrait faire aujourd’hui… il y avait tellement de choses à faire!
Cela ne fesait que quelques jours qu’elle était arrivée à Chicago et elle savait d’or et déjà que cette ville allait lui plaire. Rien que sa réputation l’attirait : vivre dans la ville du crime, quoi de plus palpitant pour une curieuse comme elle? Ell comptait bien résoudre la plupart des énigmes et des morts de cette grande ville et, d’ailleurs, les trois meurtres de son immeuble ne cessaient de l’intriguer. Elle ne fesait qu’y penser nuit et jour, voulant à tout prix ttrouver le meurtrier, si on admettait la thèse que les trois victimes aient été tués par une seule et même personne. Thèse à laquelle tout le monde n’adhérait aps, puisque d’après certaines personnes, la ville était peuplée de tellement de psycophates pour que les tueurs soient trois personnes bien distinctes. D’ailleurs en repensant à ces histoires, elle repensa à son scénario. En venant ici, elle avait en effet un objectif. Rêvant de devenir réalisatrice, elle voulait s’inspirer de ces étranges histoires afin de créer un film à succès. Elle était persuadée qu’elle avait gros à gagner si elle réussissait à mener ce projet à bien. Mais pour le terminer, fallait avancer. Or, elle n’avait encore rien écrit.
« Faudrait peut-être que je m’y mette » pensa-t-elle tout en posant sa tasse de chocolat dans la machine à laver. La voici donc avançant vers la chambre où était posé son PC portable… où était normalement posé son PC car, à l’évidence, il n’y était plus. Mais où était-il? Volatilisé, disparu… Elle le chercha partout, dans toutes les pièces de la maison, même dans les moins probables comme les toilettes par exemple. Mince, où était ce foutu appareil. Et là, elle eut une illumination: « Ah oui, la cave! ». Je vous l’accorde ce n’est pas la place adéquate. Mais depuis que Jane s’était installée, son apprtement était un vrai chantier. Un immense espace rempli de cartons. C’était à peine si on pouvait voir le sol. Et n’ayant pas la place pour tout mettre, elle avait du se résigner à laisser une partie de ses affaires à la cave en attendant de tout ranger.
Ni une, ni deux, elle enfila une paire de chaussures et descendit illico presto les escaliers qui menait à une grande porte systématiquement fermée à clé. Seul les locataires de l’immeuble pouvait y rentrer. C’était la porte qui menait à un grand couloirs remplies encore de portes qui étaient les caves. Chaques portes de cave portaient l’isncription de l’appartement auxquelles elles appartenaient. Elle chercha désespérement la porte 1K. On l’avait avertie, la porte ne pouvait être fermée. En effet, une fois à l’intérieur, la poignée étant cassée, si on refermait la porte, on était coincé. C’est pourquoi un morceau de bois était présent, afin de ne pas laisser la porte se renfermer.
Jane rentra donc à tâtons dans la pièce plongé dans le noir et chercha l’interrupteur. « Cliiik » et la lumière jaillit. Une petite dizaine de cartons s’offraient à elle, il ne fallait plus que trouver celui qui renfermait l’objet de son désir. Mais, prévoyante, elle cala le morceau de bois entre la porte et le mur.
Mais aujourd’hui, en se réveillant avec ses fameux Beatles, elle aurait du se douter que les paroles allaient se révélées vraies. En effet, alors qu’elle cherchait son PC, le petit morceau de bois se brisa, laissant la porte se refermée fesant de Jane une prisonnière de la cave. Pas besoin de vous expliquer dans quel état de panique elle était. Frappant de toutes ses forces, elle ne cessait de crier! « Help »… She need somebody! « Faites que quelqu’un est eut l’idée de faire un tour dans ces foutus caves… »

[ j'mincruste si ça ne te dérange pas bin sûr^^ ]

Stupid girls, stupid girls, stupid girls
Maybe if I act like that, that guy will call me back
Porno Paparazzi girl, I don't wanna be a stupid girl

Bonjour, il est maintenant 9h00 et le soleil est au rendez-vous sur Chica ... BAAAANG

Non, vous n'entendrez pas la fin de la phrase, même si vous aviez tout de même comprit que la ville était Chicago. Si vous n'avez pas comprit, c'est que vous êtes vraiment naze^^. Enfin bref, tout ça pour vous dire que si vous n'avez pas entendu la fin, c'esdt parce que le réveil venait d'être jetter violement contre le sol dans un vacarme pas possible, ce qui lui valut quelques cris des voisins du dessous. Ce qui ne la gêna pas vraiment puisque cela devenait quotidien maintenant. Enfin bref, ce n'est pas vraiment là le sujet de l'histoire. Maureen prit donc son temps, comme tous les matins avant de se lever. Après dix minutes passée à se tourner et se retourner dans son lit dans l'espoir de trouver à nouveau le sommeil, Maureen se décida enfin à se sortir de son lit. La jeune femme ne dormais pas en chemise de nuit, non, mais en mini short bleu et top blanc. Oui, je sais, ce ne sont que des détails et on s'en fiche. C'est la suite qui vous interesse, je pari ? Bon Ok, je vous dis ça tout de suite. Après un petit déjeuner rapide, elle fila sous la douche, bien froide, comme d'habitude, enfila son jogging et un top noir puis partit faire son footing matinal, accompagnée de son I-Pod, comme tous les matins.

Maybe if I act like that, that guy will call me back
Porno Paparazzi girl, I don't wanna be a stupid girl
Baby if I act like that, flipping my blond hair back
Push up my bra like that, I don't wanna be a stupid girl

Voila maitnenant deux heures que Maureen cours alors, hop, c'est le moment de rentrer au bercaille. C'est donc sur une chanson du groupe Guerilla Poubelle, s'intitulant Etre une femme, que Maureen rentra à son immeuble. En arrivant en bas, elle passa à sa boîte aux lettres, noramlement, à 11h45, le facteur est déjà passé, non ? Enfin bref, elle retira ses écouteurs, sortit les clefs de sa poche et ouvrit la petite boîte. Pendant qu'elle fourra sa main dans la boîte, elle entendit comme quelqu'un qui tappait contre une porte et puis un semblant de cris. Elle se dit d'abord que c'était le pur fruit de son imagination et rien d'autre. Puiqu'avec les derniers évènements passés, Maureen a un temps soit peu des frissons lorsqu'elle entend un vruit du genre des cris et autres. Mais après avoir fermer le petit carré, les bruits ne cessèrent pas. Elle décida donc de s'approcher un peu de l'endroit d'où provenaient ses bruits. Elle se rendit vite compte que cela sortait des caves. Elle prit donc la bonne clef, l'enfonca dans la serrure et ouvrit la lourde porte. Les cris venait d'une des portes, mais laquelle. Maureen parcourra le couloirs de tout son long et s'arrêta devant une porte d'où les bruits étaient les plus fort, cette porte était la porte de l'appartement 1K. Elle posa sa main sur la poignet, légèrement tremblottant, appuya dessus et ouvrit la porte, doucement. Derrière celle-ci, elle découvrit une jeune femme qui vit elle aussi au premier étage. Oui, elle l'avait croisée déjà deux ou trois fois auparavant. Soulagée, elle laissa échapper un petit sourire en coin et rappuya sur linterupteur pour allumer la lumière.

Ca va ? Cette porte est assez énervante, vous n'avez pas eut vraiment de chance de tomber sur celle-ci ...

Dit-elle tout en hausant les épaules. Non, Maureen n'avait jamais eut à faire avec cette porte mais une ancienne locataire de l'appartement 1K s'était retrouvée bloquée elle aussi dans cette cave. Enfin bref, passe pour l'annecdote.

Oh my god you guys, I totally had more than 300 calories today
That was so not sexy, no
Good one, can I borrow that?
I WILL BE SKINNY

Au contraire, t'es la bienvenue

Plus le temps avançait, plus l’inquiétude de Jane augmentait. Décidément, personne ne venait ici? Pourtant une cave est bien utile, enfin espérons-le. Elle se voyait déjà, enfermer pour l’éternité entre ces quatres murs poisseux. C’est étrange, elle s’était toujours dits que si elle devait mourir à Chicago sa serait assassiné par un dangereux malfrats dans une ruelle sombre où près d’une banque! Mais certainement pas mangé par les rats dans la cave de l’appartement 1K à cause d’une porte capricieuse. Rien qu’à la vue des rats accourant vers elle en espérant de faire de Jane leur quatre heures, celle-ci eut une soudaine motnée d’énergie et frappa de plus belle sur la porte. Elle criait, tappait sur cette porte qui ne semblait même pas bouger d’un millimètre. Pfff? Que faire? Comme dans les films, essayer de défoncer la porte avec l’épaule? De toute façon qui en tente rien n’a rien.. la voici donc prête à rpendre son élan et de foncer tout droit sur ce misérable morceau de bois qui la tenait prissonière. A la une, à la deux, à la troiiiis *AÏE* Voilà, maintenant elle était coincée, et en plus avait terriblement mal à son épaule droite.

Alors qu’elle semblait désespérée, une lueur d’espoir vînt à elle. Il fallait dire que les murs étaient aussi fin que du papier et que l’on entendait absolument tout. Comme par exemple la porte de m’immeuble s’ouvrant. En effet, quelqu’un semblait être rentrée et d’après le cliquetis des boîtes à lettre rouillée, elle semblait se trouver à quelques mètres d’elle. Si Jane pouvait entendre cette personne, cette personne pouvait peut-être entedre Jane? La voici repartit dans sa lutte désespérée afin de signaler sa présence. Après quelques secondes de silence pendant lesquelles la jeune prisonnière priait pour que son sauveur ou sa salvatrice ne l’ait pas abandonnée, des bruits de pas résonnèrent. Meerveilleux, cette fameuse personne semblait se rapprocher de sa porte… allez encore quelques petits efforts. Ca y est! La poignet commençait a bouger et en quelques secondes la porte était grande ouverte, fesant découvrir de nouveau la liberté à notr chère poisseuse.

Mais qui était donc cette salvatrice? Ah oui, Jane l’avait quelques fois croisé dans les couloirs de l’immeuble, mais elle était loin de se douter qu’elle serait sa sauveuse. C’était une charmante femme d’une blondeur absolue. Si à cet instant elle avait pu lui sauter dans les bras et la serrer super super super fort, elle l’aurait volontiers faits, elle qui se voyait déjà mourir en ces lieux. Mais seulement un petit sourire qui en disait long sur sa gratitude s’afficha sur son visage.

-« Oh merci, merci, merci… je ne sais pas comment vous remerciez! Je vous suis reconnaissante à vie, merci beacoup! Je voyais déjà ma vie défilé devant mes yeux! »

Avant de quitter ces lieux maudits, elle prit quand même la peine de chercher son ordinateur portable qu’elle trouva rapidement. Après tout, elle était venue pour ça, non? Après tout ce qui s’était déroulé, sa aurait été bête de repartir sans. Puis refermant la porte derrière elle, elle regarda sa voisine lui adressant un de ses plus chaleureux sourire. Les locataires de l’immeuble semblait vraiment tous sympathiques, du moins pour ceux qu’elle connaissait. Et ce qui s’était passer aujourd’hui, ne fesait que confirmer son opinion.

-« M’en parlez pas! Je crois que je ne remettrais plus jamais les pieds ici, du moins seule. Fallait que je m’y attende. Avec ma légendaire chance, ça ne m’étonnes pas d’être tombée sur une porte ayant quelques « défauts ». Mais ce qui m’étonne encore plus c’est de ne pas être tombé sur un appartement peuplé de cafards et tombant en ruines ». Après un petit rire, elle tendit sa main. Voici venue el temps des présentations, c’était la moindre des politesses. « Jane, Jane Keaton. Résidente de l’appartement 1K » dit-elle en fesant un signe de tête en direction de la petite plaque 1K accrochée sur la porte de sa maudite cave. « Et présente n’importe quand, à n’importe quelle heure si vous avez le moindre soucis ».

Quelle aventure pour Jane. Les Beatles étaient-ilun groupe prémonitoire? Et si elle se reveillait avec la chance « All you need is love », tomberait-elle sur l’homme de sa vie? Elle devrait peut-être tenté…

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